lundi 1 août 2011

Life

















7 commentaires:

  1. (*) Quand j'ai fait ce truc, ça me semblait clair, limpide et très marrant. Plus trop sur de ça, donc du coup, pardon du manque de chute :)

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  2. Ca me donne envie de re-regarder Hook tiens

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  3. Arrêt du sexe ? Mais non, la preuve: " Aujourd'hui, j'ai eu la confirmation qu'à 85 et 87 ans, il est bien possible d'avoir une vie sexuelle. Pépé, mémé, merci d'avoir dissipé ce doute. VDM " Huhu.

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  4. Arrêt du sexe à 50 ans ! Scandale !
    Ce tableau serait une bonne explication de la génération adulescent (j'aime pas ce mot, je préfère "enfulte"). André Breton dit que c'est peut-être l'enfance qui se rapproche le plus de la vraie vie... je pense qu'un des principaux attraits de l'enfance (il n'y est pas dans tes "+") c'est cet espèce d'état de conscience bizarre, où le moindre truc peut être ouf, où des machins débiles nous font mourir de rire, etc. un peu comme la drogue.

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  5. Quand on essaye de faire un axe comme ça, on généralise forcément. L'arrêt du sexe à 50 ans, alors oui, certains grand-parents continuent à s'envoyer en l'air, grand bien leur en fasse. Mais si je les prends en compte, je dois aussi prendre en compte les gens qui arrêtent de coucher après leurs première expérience, voire qui n'ont jamais coucher. De même, il y a des gens qui ont une enfance immonde et une vie adulte riche et remplie. Je ne prends ici que les majorités, et encore, les majorités que j'observe moi, dans mon cercle de connaissance et de contexte géographique et social, ect.

    Concernant l'enfance, le côté "tout est géant" est suggérer dans le côté inventif. On peut passer des heures à jouer avec des jeux en bois, ce qu'on aurait du mal à faire à 30 ans. Ceci dit, je ne trouve pas que ce soit le meilleur aspect. La drogue justement pour certaines personnes recréent ça, et pour les autres, ils s'en passent très bien.

    Pour moi, le meilleur reste la conscience de la jeunesse. Or, enfant, on a pas conscience de ce qu'on a, on veut tout le temps grandir ect. Ado, on se morfond, et c'est qu'entre l'âge adulte et la fin de l'adolescence qu'on à ce petit "ah je suis encore jeune". Maintenant, je répète que cet axe est fait par quelqu'un qui se déprimait à 20 ans car se trouvant trop vieux. Tout est dès lors très subjectif, ce que j'assume parfaitement. Ah, et désolé du pavé, je suis un inconditionnel bavard.

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  6. C'est dingue, c'est exactement comme ça que je vois ma vie... Comme quoi, il doit y avoir pas mal de gens qui se trouvent trop vieux à 20 ans.!

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